Brouillons de mes lettres

Le 03 avril à mon parrain

Mon Lantarius,

Nous avons tous les deux réagi avec nos sentiments dénués de raison de part et d'autre.

Passons à autre chose.

Rod m'a fait lire votre lettre. Si vous saviez la joie que fut la mienne de savoir que vous alliez venir nous rejoindre.
Je revis de vous savoir bientôt auprès de nous. Ce voyage vous fera le plus grand bien, et je suis certaine que vous allez retrouver une jeunesse à force de voyager.

Vous n'avez pas l'âge d'être mon grand'père, juste mon père. Un jour de vous demanderai de m'adopter. Mais juste pour votre héritage hein !!! **rit**

Nous sommes à Lodève, nous coupons du bois. Nous rentrons sans doute ce soir.

Oh si vous saviez comme je suis contente.

Je vous embrasse, et ne répondez que si vous en avez la force et l'envie.

Véra.

Mon cher Parrain

Comme je suis heureuse de lire ces quelques lignes, de vous savoir remis.
Je me suis fait tant d'inquiètude pour vous.

Rod et moi aimerions connaître la date de votre départ.
Nous voyageons beaucoup, pour le travai, Rod est un fameux commerçant.
J'apprends beaucoup de lui. Quand j'aurai une trésorerie suffisante, je marcherai sur ses traces.

Nous avons été aussi sollicités par une amie pour l'accompagner à Sarlat. Nous n'en avons pas encore vraiment discutté, et encore moins décidé.

Tout ça pour vous dire qu'il est important que nous sachions quand vous arriverez. Et peut être que nous pourrons venir à votre rencontre si les dates peuvent correspondre. Enfin vous voyez ce dont je veux parler.

Quand à la cérémonie mon cher Parrain, elle nous paraît encore prématurée.
Nous sommes heureux, nous nous aimons. Mais avant de s'emboiter à la perfection, les pierres doivent tout d'abord se frotter l'une à l'autre.

J'aurai plaisir à découvrir votre écrit.

Je vous aime Lantarius
Venez vite vous faire choyer.

Rod et Véra.

Mon cher Parrain

J'ai honte de vous répondre aussi tardivement. Mais certains événements nous ont un peu perturbés.
Je vous explique :

Nous nous sommes installés à Millau comme vous le savez. Tous se passait pour le mieux.
Rod est un homme très humain, très serviable, très chaleureux.
Nous nous sommes mis au service de la mairesse, Merwane, en allant dans la ville voisine pour lui couper du bois. A notre retour, elle avait des peines de cœur et s'est confiée à Rod, qui a essayé de l'aider et de lui remonter le moral.
Seulement, elle s'est trompée sur ses sentiments et s'est mise en tête que Rod en était amoureux.
Il a eu beau lui expliquer que non, qu'elle se trompait, qu'il m'aimait. Elle me connaissait cependant et nous a toujours vu ensemble et amoureux.
Elle a essayé de persuader Rod qu'il l'aimait et s'est jetée sur lui pour l'embrasser fougueusement. Il l'a repoussée évidemment.

Ce même soir, alors qu'ils étaient trois en taverne, elle s'est jetée du toit de son établissement. L'autre homme est allé vérifier qu'elle vivait encore. Puis, avec Rod, ils se sont amusés à imaginer que, comme elle était morte (ce qui n'était pas le cas), ils la découpaient et la faisait cuire dans un chaudron ... bref une soirée à rire.
Mais elle ne l'a pas pris sur ce ton. Elle s'est vexée (rp et hrp) et a fait courir le bruit de partout qu'ils l'avaient tuée.
Il y eut même une annonce en halle pour annoncer à Millau que des assassins courraient en ville, qu'ils avaient tué la mairesse, et qu'il fallait se mettre à leur recherche.

(Le censeur a du intervenir pour dire à la joueuse que personne ne pouvait tuer un autre joueur sans son consentement. Le topic a été supprimé de la halle.
Bref elle a fait un mélange rp/hrp désolant, ridicule et d'une grande bêtise. Elle était en taverne, ne répondait plus sous prétexte qu'elle était morte. Elle nous donnait des leçons de jeux en jaune. Enfin, du grand n'importe quoi. Elle était dès le lendemain, revenue à la vie et continue de diriger la ville.)

La vie à Millau était devenue impossible à proximité d'une telle folle. Nous avons juste peur qu'elle poursuive Rod de son harcèlement.

Nous avons donc repris la route. Nous envisageons de nous installer sur Nîmes ou une autre ville du Languedoc si l'une d'entre elles nous convient.

Voila nos dernières nouvelles. Nous sommes à Montpellier, nous reprenons la route ce soir.

Je vous embrasse fort
Véra.

Demande de LP - Toulouse


Bonjour Dame

Je nous présente :

Messire Rodisland et moi même sommes un couple d'amoureux qui souhaiterait s'installer à Toulouse.

Nous souhaitons devenir marchands ambulants et profiter des voies navigables pour transporter nos marchandises.

Nous sommes tous les deus originaires du Mans (comté du Maine) récemment installés à Millau (Rouergue) que nous avons quitté pour des raisons personnelles.

Nous ne sommes pas belliqueux et ne faisons partie d'aucun groupe de brigands.

Nous aimerions obtenir un LP afin de traverser votre comté et nous y installer sans doute.

Cordialement,
Veralucie

Deuxième courrier envoyé ce jour, le 14 avril, à Catherines

Lettre à mon parrain :



OOOOHHHH

Désolée, vraiment désolée .... Bon anniversaire à l'homme que j'aime le plus au monde ... Après Rod bien évidemment.

Et vous voila en galante compagnie ! et vous ne m'en parlez que maintenant ! Vilain parrain que vous êtes ! Ne suis-je plus votre confidente ?

Racontez moi ! tout, je veux tout savoir : Qui est-elle ? quel âge a t-elle ? est-elle riche ????

Quand à nous nous avons encore bifurquer de direction. Nous nous dirigeons vers Toulouse. Nous avons des projets plein la tête. Nous voulons commercer et nous pensons qu'utiliser les voies navigables pour transporter nos marchandises est une bonne idée. Donc : Toulouse !

Nous somme ce jour à Narbonne.

Je vais en parler avec Rod de votre suggestion.
Il est merveilleux, nous nous complétons, nous nous aimons. Jamais le très haut n'aurait pu mieux me combler.

Je vous tiens au courant.
Je vous aime
Véra.

Lettre à mon parrain, le 24 avril :


Bonjour mon cher Parrain

Nous sommes à Montauban. Nous coupons du bois pour nos affaires.

Et vous ? où êtes vous ? Sauriez vous nous dire quand vous comptez arrivez vers nous ?

Je vous explique : Nous voulons aller aussi à Agen pour cueillir des fruits. Nous ramènerons ainsi fruits et bois vers Toulouse qui en manque. Et quand nous sommes à Toulouse, nous pêchons et venons vendre nos poissons à Montauban à qui ils font défaut.

Donc la question est : Restons nous à Montauban à vous attendre ? (ce qui ne nous dérange nullement) ou avons nous le temps d'aller cueillir des fruits à Agen ?
Si nous vous attendons à Montauban, nous irons avec vous à Agen et nous rentrerons ensemble à Toulouse.

Comment s'est finalement passé votre séjour à Millau ? Avez vous pu rencontrer Taniet ?

Je vous embrasse Lantarius.
Nous avons hâte de vous voir.

Rod et Véra.

Lettre à mon parrain, le 25 avril

Mon Parrain

Je ne sais que vous répondre. Je vais en discuter avec Rod. Nous devions partir ce soir pour Angers et rentrer pour Lundi à Montauban.

Mais voila qu'une lettre du maire nous prévient qu'il y a une armée sanguinaire aux portes de Montauban. Donc nous sommes dans le doute.

Dans Montauban, nous sommes en sécurité. N'approchez de Montauban que si je vous en donne le conseil. Avant ce serait suicidaire.

Ah qu'ils ont le sang chaud dans le sud.

Je vous écris à nouveau, dès que j'ai des nouvelles sûres.

Je vous embrasse
Véra

Lettre à Aube, le 30 avril

Titre : comme une bouteille à la mer

Ma douce Aube

Je viens d'apprendre de la bouche de Rod que tu avais quitté notre monde.

J'en ressens une grande peine, comme un truc que j'aurais loupé, comme une main que je n'aurais pas tendue.

Je sais que mon intervention sera inutile si tu ne reviens pas vers nous. Mais, et je veux y croire encore, si tu as un remord, si Aristote te renvoie dans notre royaume, sache que Rod et moi nous sommes là.
C'est peut être une piètre consolation, mais nous te proposons de venir nous rejoindre. Nous t'apprécions beaucoup et nous n'allons pas nous résoudre à ta disparition sans n'avoir rien tenté.

Je ne connais pas tes raisons, mais sache qu'on ne regrette jamais d'avoir renoncé à mourir.

Quoique tu décides Aube, nous pensons à toi.

Véra et Rod.

Le 05 mai - Lettre à mon parrain

Mon parrain

Je suis bien ravie pour vous que vous alliez visiter Bordeaux.

Quand à nous nous cueillons encore. Les arbres donnent bien ici.
Soyez prudent tout de même. Et qui est cette jeune fille ? fripon que vous êtes.

Je vous embrasse.
Véra.

Le 22 mai


Bonjour mon Lantarius

Excusez moi tout d'abord de ne pas avoir pris de vos nouvelles plus tôt mais il m'a fallut aller chez les nonnes. Même si elles me laissaient sortir pour manger et travailler, elles exigeaient de moi que je rentre dans la minute.

Je suis enfin libre depuis hier. Le temps de remettre de l'ordre dans notre roulotte, Rod à toutes les qualités sauf celle du rangement et du ménage, et je m'inquiète de vous.

Nous sommes chez nous, à Toulouse.
Rod et moi avons acquis chacun notre champ. Nous voila fermiers. Nous allons stationner un temps dans notre belle ville rose.

Où êtes vous ? Voyagez vous toujours avec votre jeune amie ? Allez vous bien ?

Je vous embrasse comme je vous aime mon parrain, tendrement.

Véra

a Messire Fred, le 23.05

Bonjour Messire,

Je suis tout a fait d'accord pour participer à la défense de notre cité.

Je ne pourrai être disponible qu'à partir de demain, ayant pris un emploi qui me libérera dans l'après-midi.

J'attends donc vos instructions.

Véra-Lucie

Mon cher parrain
Je n'arrive pas à croire ce que je lis. Comment peut on ne pas s'entendre avec vous.
Elle ne devait pas être bien intéressante pour s'être disputé avec vous.
Nous sommes de retour sur Toulouse. Nous allons y rester quelques temps.
Nous travaillons pour acheter nos échoppes. Rod veut être meunier et moi Boulangère.
Nus avançons pas à pas, mais toujours main dans la main.
Venez donc, ça nous fera plaisir de vous accueillir. Toulouse est très animée, vous allez vous y plaire.
Je vous embrasse tendrement
votre filleule aimante.
Véra.

Lettre à Taniet

Bonjour Taniet,
Rod m'a appris hier que vous aviez été poutrées par une armée.
Je voulais te dire combien j'étais désolée de ce qui vous arrive. Tu sais je ne suis pas démonstrative, je suis même assez distante quelques fois. Je peux passer pour ne fille hautaine, mais c'est vraiment pas ce que je suis. C'est souvent plus de la réserve et de la timidité.
Je suis vraiment touchée que tu sois bloquée dans cette ville de zombies.
Avec Rod, nous viendrons vous rendre visite. On ne sait pas encore quand. Nous devons installer nos échoppes et les faire tourner. Mais nous viendrons.
Passe bien mes amitiés à Ali et prenez soin de vous.
Véra.

Lettre à mon amour

Mon bel ange,
Quel soulagement de savoir que tu n'as pas fait de mauvaise rencontre. Il me presse de te voir avec cette nouvelle chemise. Mais en fait c'est dépouillé de tout vêtement que tu me plais le plus.
Merci pour la farine mon cœur, elle est ici à 15.30, mais ce matin j'en ai vu à 14.20, j'en ai acheté 10, avec ceux que tu me rapporteras j'aurai de quoi faire une fournée de 36 pains.
Si tu piques leur bois, tu vas te prendre un procès et Castel est dans le même comté que Toulouse donc tu n'échapperas pas au Proc. Tu peux jouer la carte de "je savais pas" mais je ne suis pas certaine que ça marche.
Chéri, je crois que c'est trop imprudent. Pour me faire une fournée de 36 pains, il me faut, 12 sacs de farine et 6 stères de bois. J'en ai 3 et tu me disais en avoir aussi.
Je veux pas que tu ais des ennuis mon amour. Pas pour économiser quelques écus.
Si tu passes dans notre coffre à secrets tu verras quelle bonne trouvaille j'ai fait. Alors ne prends pas de risque.
Mauvaise nouvelle pour Toulouse. Le roi est mort, ils attendent quoi ? ils veulent quoi ?
Enfin, je ne comprends rien à tout ça.
J'ai moi aussi très envie de me retrouver dans tes bras. Cette nuit sans toi ne fut pas agréable. J'ai eu froid, je t'ai cherché de mes mains, j'ai eu des longues périodes d'insomnie.
Je t'embrasse longuement mon meunier, et comme il paraît que tu dors, je le fais doucement pour ne pas te réveiller.
Je t'aime.
Véra

Lettre à mon amour


Mon bel ange
Je suis parfaitement heureuse que tu ais renoncé au bois.
Je suis impatiente que nous soyons à nouveau réunis dans notre couche. J'ai vécu tant d'années sans toi et cependant, j'ai l'impression que toi et moi c'est comme une évidence, comme une impossibilité que nous soyons séparés.
Fais attention à toi chéri.
J'ai préparé une assiette de cochonnailles, une miche de pain, et des fruits. J'ai déposé le tout dans le garde manger. Il y a aussi un cruchon de ce vin de Cahors que nous aimons tous les deux.
Je pense que je m'éveillerai quand tu rentreras. Mais si le sommeil était trop profond, mange et viens me rejoindre sous notre édredon, et surtout, réveille moi.
Je t'aime plus que tu puisses imaginer.
Véra.

Le 1er août au Prévost

Bonjorn Messire Prévost

J'ai 58 en charisme.

Mais je ne comprends pas bien, sans doute suis-je trop naïve.
On savait tous que le maire en place (ou l'autre) n'aurait pas été capable de tenir Toulouse.
Alors, pourquoi l'avoir laissé prendre la place et ne réagir qu'une fois qu'il y est ?

Enfin, je dois vous paraître stupide !

Véra-Lucie

Le 2 août au Prévost :

Messire,

Je sais bien qu'on ne peut empêcher qui que ce soit de se présenter aux élections. Mais, si on se révolte, une personne sera bien nommée à ce poste ! C'est là qu'est mon interrogation, si elle accepte la place maintenant, pourquoi ne pas s'être présentée et s'être soumise aux suffrages des Toulousains ?

Ne croyez pas que je sois pour le maire actuel, pas plus du reste que pour son adversaire. Je n'entends rien à la politique mais il ne m'a pas fallu longtemps pour me rendre compte que ni l'un ni l'autre y serait à leur place, je me suis donc abstenue de voter, ne voulant cautionner une telle bévue.

Ceci dit, étant Prévost des maréchaux, je suppose que vous vous révoltez avec l'accord du comte !

Je dois encore en parler avec Messire Rod, je vous donnerai ma réponse dès que ce sera fait. Mais je reste disponible pour ce soir.

Véra.

Au prévost de Mont de Marsan pour un LP


Bonjour Messire Prévost.

Je m'appelle Veralucie, citoyenne toulousaine et je suis de passage en Gascogne avec mon compagnon Messire Rodisland.
Nous sommes un couple d'amoureux et nous n'avons aucune intention belliqueuse.
Nous profitons de notre passage dans les différentes villes pour cueillir, pêcher ou couper du bois.

Sur la carte que nous avons, il n'est pas mentionné que les frontières de votre duché sont fermées. (http://www.enparleor.fr/SE/frontieres.php) Si nous l'avions su nous ne serions pas entrés sans LP.

Désirant y rester quelques jours, serait-il possible que vous nous accordiez une autorisation de circuler ?

Je vous remercie de votre sollicitude.

Veralucie.
Le 11 aout 1461.

Le 12 août au sergent Jomariel :

Bonjour Messire Sergent,

Veuillez trouver ci-dessous mon LP.
Je vous remercie pour l'appuie que vous avez fait à ma demande.
Au plaisir de vous croiser

Véra-Lucie





Expéditeur : Marmot
Date d'envoi : 12/08/1461 - 02:40:47
Titre : Re: LP
Dame Veralucie


veuillez par ce document recevoir un LP de 15 jours en nos terres Gaconnes.
Du 11 Août au 30 août 1461.

Bien a vous

Marmot
Prévôt de Gascogne

Le 12 août, à mon parrain.


Rod, à qui j'ai annoncé le montant de ma dote, demande si vous n'avez pas oublié une virgule entre le 2 et le 5.
Merci mon Parrain de m'estimer à ce point. Mais nous ne pensons pas encore au mariage. Il y a tant et tant à faire avant ce grand jour.

Oui j'aime le profit, Rod et moi travaillons sans relâche dans le but de bien gagner notre vie, d'économiser le plus possible afin d'acheter notre bateau. Quand à notre couple, il se porte le mieux possible. Rod est un homme merveilleux. J'essaye quand à moi, de le soutenir le plus possible dans tout ce qu'il fait. Et je l'aime plus que tout.

Donc, revenons à cette jeune toulousaine qui nous connait si bien.
Allez vous nous taire son nom encore longtemps ? Pour qu'elle s'intéresse à vous et pour que vous l'appréciez, ce doit être quelqu'un de bien, à n'en pas douter.

Je ferai vos amitiés à Rod sans y manquer.

Je vous embrasse très fort

Véra.

Le 14 aout 1461 à mon parrain

Le 4 septembre 1461

Bonjour mon parrain

Comment allez vous ? Où êtes vous ? Que devenez vous ?

Nous sommes de retour à Toulouse. Cette ville nous ennuie, elle ne s'intéresse qu'à la politique. Je déteste la mentalité des Toulousains.

Nous faisons fructifier nos champs, tourner le moulin de Rod et cuir quelques fournées de pain. Ensuite nous reprendrons la route.

Donnes moi de vos nouvelles.

Je vous embrasse très fort
votre filleule aimante

Véra et Rod

Le 6 septembre à Rod


Mon amour,

Nous parlions du prix de mon pain hier soir.

Je le vends actuellement à 5.9, le moins cher du marché, et ça me fait un salaire de 32.4 ce qui n'est pas mal
Je peux descendre à 5.7 ce qui me laisserait un salaire de 25 écus.
Et à 5.56 un salaire de 20, ce qui n'est pas beaucoup mais reste correct.

J'ai remis une fournée et il me reste 1 sac de farine et 8 stères

Si je cuis encore demain il me faut un complément de : 11 farines

Dimanche :
après demain : 12 farines et 4 bois.

Voila mon amour.
Je t'aime
Véra.

Le 09 octobre 1461 à Frère Péris


Bonjour mon Frère

Merci merci pour votre acceptation.

Nous serons au Mans pour le baptème et pour le mariage.

Pour nos épousailles Lantarius mon parrain sera mon témoin. Mais si vous le voyez, ne lui en parlez pas, ni de notre venue, c'est une surprise.

Je transmets votre réponse à mon fiancé, il vous répondra lui même

Merci encore
Véra-Lucie

Le 09 octobre 1461 à Lantarius :

Bonjour mon Parrain

Sans nouvelle de vous depuis bien trop longtemps, je m'inquiète de savoir ce que vous devenez et de l'endroit où vous vous trouvez.

J'espère vraiment que c'est juste parce que vous être trop occupé pour m'écrire. Je n'aimerais pas savoir que vous n'allez pas bien.

Rod et moi sommes toujours sur les routes et je suis toujours une femme heureuse.

J'espère vous lire bientôt.

Bisous
Véra.